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Critique J’Irai Mourir Dans Les Carpates : J’Irai Dormir Au Cinéma

Critique J’Irai Mourir Dans Les Carpates : J’Irai Dormir Au Cinéma
Critique J’Irai Mourir Dans Les Carpates : J’Irai Dormir Au Cinéma

J’irai mourir dans les Carpates voit le célèbre concept d’Antoine de Maximy transposé dans une oeuvre de fiction épaulée par Alice Pol et Max Boublil. Pour un projet sans intérêt.





J’irai mourir dans les Carpates marque les fifteen années où Antoine de Maximy aura su balader sa moue sympathique au travers du world avec J’irai dormir chez vous. Emmenant avec lui nombre de spectateurs dans ses pérégrinations aussi originales que prenantes, où la rencontre avec les habitants offrait quelque chose d’unique à n’importe lequel de ses voyages. Après avoir étendu son concept au cinéma avec J’irai dormir à Hollywood en 2008, le sympathique baroudeur signe ici sa première oeuvre de fiction, partant avec pour postulat ce qui aurait pu lui arriver de pire lors d’un tournage de sa célèbre émission.





Critique j'irai mourir dans les Carpates
© Bonne Pioche, Rouge International




J’irai mourir dans les Carpates débute alors par sa disparition suite à un mystérieux accident de voiture. Une fois ses précieuses cassettes rapatriées auprès d’Agnès, sa monteuse (interprétée par Alice Pol) cette dernière tentera de reconstituer le voyage d’Antoine de Maximy et d’élucider 50’enquête auprès de l’inspecteur de police force campé par Max Boublil. Et le moins que 50’on puisse dire, c’est que tout cela manque clairement de vraisemblance.





J’irai apprendre à faire un film





La richesse de J’irai dormir chez vous était boy manque total de scénario, épousant les rencontres qui faisaient le sel de n’importe quel voyage. Sauf qu’il s’agit ici d’une oeuvre de fiction, et le film d’Antoine de Maximy se doit au minimum d’offrir un récit plausible afin que fifty’on puisse se plonger dans cette enquête, aussi abracadabrantesque soit-elle. Et c’est bien la peine de J’irai mourir dans les Carpates, qui en addition d’être dans fifty’impossibilité de faire exister son simulated reportage, second’alourdit avec un récit de fiction aussi téléphoné que grotesque.





Critique j'irai mourir dans les Carpates
©Bonne Pioche, Rouge International




Le way du reportage propre à l’émission rejoint ainsi celui d’un téléfilm déjà vu dont on se demande rapidement fifty’intérêt de le voir projeté en salles. Même pour les inconditionnels de fifty’émission, le concept atteint ici d’évidentes limites qui peinent à remplir les 1h30 de long-métrage, provoquant par sa flemmardise un mépris poli sur les deux plans du récit, aussi minuscules l’un que 50’autre.





Alice Pol et Max Boublil ne semblent ainsi être ici que pour assurer un minimum de rentabilité à ce projet maladroit tant leurs rôles rejoignent un récit aussi ennuyeux que platement raconté, provoquant rapidement un complet détachement de fifty’entreprise. Lorsque fifty’on voit le nombre de boîtes de productions et de tippeurs qui ont participé à ce projet, Antoine de Maximy semble avoir oublié qu’en bout de course, le summation important à convaincre était le spectateur.





J’irai mourir dans les Carpates est sorti le sixteen septembre.





Critique écrite par Kantain.








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